Me encontré en un Congreso de Comunicación con una lectora empedernida y una escritora en ciernes: Beatrice Vacher. Le hablé de la novela y me encontré con esta reseña, emotiva y entusiasta. ¡Gracias! ¡Y ojalá pronto se pueda leer la novela en francés!
C’est ainsi, le chef est mort ! Le grand, le seul, l’unique. C’est dire si la perte est immense ! Le monde gastronomique est en deuil et, pire, on n’est même pas sûr que ce soit un accident… Yanet me racontait il y quelques jours, comment l’idée de ce livre lui est venu. J’en rie encore et vous laisse le découvrir dès les premières pages du livre. Oui, il s’agit d’un roman, un p’tit noir qu’on déguste au moment du coucher, désopilant qui plus est. Il a tout pour plaire : un détective, Ven Cabreira, à côté de la plaque et qui ne se nourrit qu’aux boîtes de fabada (rappelons qu’il s’agit d’un plat typique asturien, savoureux et plantureux, mais qu’en boîte, c’est franchement gerbi), doit enquêter sur la mort du fameux chef. Pour cela, il se fait passer pour un commissaire du guide Michelin et écrème les plus grands restaurants du monde en compagnie des jaloux, envieux, maffieux, véreux et autres personnages plus que douteux, alors qui lui, pauvre Ven ne rêve que de White Horse et de fabada, un désastre. Seules Lucy et Linda rayonnent de leur désir de beau, bon et doux, quoique sans grand scrupule non plus. Peu importe, on adore nos trois héros qui parcourent l’Espagne, la France, la Norvège, l’Italie et même la Chine et le Japon… Je me demande ce que je vais faire à dîner ce soir car on m’a barbotté mon livre de cuisine et ça ne me fait pas rire du tout. Faudrait pas s’étrangler au poulpe vivant ! Gloups, j’ai lâché le morceau ! Ne vous reste plus qu’à lire la suite : aux éditions NUG, «El chef ha muerto» de Yanet Acosta.
Seguir en su blog Histoires de la vie quotidienne.
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